Sayuri Hebimaru

Hors RP

Prénom :
Cindy

Pays / Région :
Québec

Age :
15 ans

Emploi / étude :
Secondaire 4

Manga préféré (livre et/ou anime):
Ouch, La question qui tue x))

Comment avez vous connue le forum?
Par un topsite, quant à savoir lequel…

Rpg

Code de Validation:Caché dans les règles... validé par shiro.

Prénom:
Sayuri

Nom:
Hebimaru

Age:
19 ans

Village:
Kumo no Kuni

Affinités:
À voir lorsque je ferai ma fiche technique, je ne suis pas encore décidée.

Description physique

Spoiler:

Sayuri est une jeune femme de taille plutôt moyenne. Pas très grosse, certains diront parfois de la demoiselle qu’elle semble plutôt fragile. Toutefois, il n’y a pas plus faux. Ses cheveux sont courts, d’une douce couleur blonde tel la paille. La kunoichi aurait appréciée les avoir plus longs, mais elle est bien consciente qu’une telle coiffure lui nuirait sans doute en combat. La jeune femme possède de fins sourcils d’une couleur légèrement plus foncée que sa chevelure. Ensuite viennent ses yeux, deux petits rubis rougeoyants. On peut y voir toute la détermination qui l’habite. Parfois on y voit passer la rage, parfois la douceur, tout dépendant des jours. Quoi qu’il en soit, ils lui auront valu maints commentaires. Celui l’ayant le plus marqué fut sans doute lorsqu’un enfant l’arrêta en pleine rue pour l’admirer. Il s’était ensuite retourné vers sa mère pour lui dire : « Regarde maman! La madame elle a des roses dans les yeux ». D’ailleurs, plusieurs jours plus tard, un coéquipier ne pu s’empêcher d’ajouter que parfois, son perçant regard lui rappelait les féroces épines de ladite fleur.

Sayuri possède un nez fin, passant presque inaperçu au centre de son joli visage légèrement pointu. Ensuite viennent de belles lèvres rosées, pulpeuses juste comme il le faut. D’ailleurs, elles s’animent souvent afin de former un doux sourire. Parfois il sera plein de compassion, parfois il sera empli d’une joie meurtrière, celle qui possède la jeune femme lors des combats.

Sa poitrine n’est pas très volumineuse, sans toutefois être inexistante. Juste assez pour charmer sans pour autant encombrer les mouvements ou provoquer de maux de dos. Sa taille est plutôt fine, telle une guêpe pourrait-on dire. De plus, ses jambes sont longues et élancées, rendant plusieurs autres jeunes femmes plutôt envieuses. D’ailleurs, ces dites jambes sont très entraînées, permettant à la kunoichi de se déplacer à une vitesse plutôt élevée. Il ne fait pas pour autant oublier que sa faible masse corporelle l’aide d’ailleurs beaucoup pour ce qui est des déplacements rapides. Pour finir, sa peau est d’un joli teint de pêche, douce et satinée telle une poupée.

Pour terminer, passons au style vestimentaire de Sayuri. Le plus souvent, elle est vêtue d’un kimono rouge vin à motifs floraux ainsi qu’un d’une large bande de tissu à la taille, rappelant les obis sans toutefois posséder de nœuds à l’arrière. Par-dessus le semblant d’obi, elle met généralement deux ou trois ceintures. À l’une d’entre elle, on peut y voir un fourreau dans lequel repose un katana, arme dont elle ne se sert que lors des combats importants. Son kimono arrête un peu après la mi-cuisse, ne restreignant donc aucunement ses mouvements. À ses pieds, de hautes sandales ninjas rouges foncés qui ne s’arrêtent que sous le genou. Elle porte une écharpe, assortie à ses bottes ninja, autour de son cou, vieille habitude qui laisse souvent les gens perplexes. Pour terminer le tout, sous bandeau ninja est attaché à sa taille, reposant avec ses nombreuses ceintures.

Lors des jours de congé, la demoiselle aime bien mettre des yukatas, de jolis kimonos plutôt légers. En permanence, elle garde environ quatre kunai dissimulé un peu partout sur elle. L’un glissé dans ses bottes ninjas lorsqu’elle les porte, l’un dissimulé derrière la large bande de tissu faisant office d’obi, un fixé à son bras, caché dans sa manche et autres endroits. De plus, elle possède toute une collection de senbons, cachés plus astucieusement encore. Cet armement ne veut pas dire qu’elle ne prenne pas la peine d’emporter d’autres armements ninjas plus traditionnel, tel le fameux étui à kunai, les fumigènes et autres petits objets utiles. Quoi il en soi, cette jolie demoiselle n’est jamais aussi fragile qu’elle ne le semble à première vue.

Description mentale

Sayuri possède un sens de l'honneur exemplaire. Elle fera tout pour vaincre ses adversaires, tout pour montrer qu'elle sait se battre. Dès qu'elle peut se montrer utile, la kunoichi fait tout ce qui est en son pouvoir pour aider les autres. Si la ninja de Kumo pouvait choisir la façon dont elle mourrait, ce serait sans doute au combat. Si la demoiselle venait à ne pas réussir une mission, sans doute elle s'en voudrait le restant de ses jours d'avoir trahi la confiance de ses coéquipiers. Car oui, vous l'aurez compris, la jeune femme tient absolument à remplir les attentes des autres. Quand même bien la barre aurait l'air trop haute pour qui que ce soit, Sayuri ferait tous les efforts nécessaires pour arriver le plus près possible de son but.

Peu importe dans quelles circonstances, l'aînée des filles de la famille Hebimaru donne toujours son maximum dans tout ce qu'elle entreprend. Selon elle, il est important de toujours faire tous les efforts possibles parce qu'en bout de ligne, peut-être cela aura changé quelque chose. C'est donc la raison pour laquelle la protagoniste se force toujours à essayer, à toujours se surpasser. C'est d'ailleurs ce qui fait son ardeur au combat, comme dans tout autre chose. Si la kunoichi doit se battre, alors la pitié n'a pas sa place et il est préférable pour les adversaires de s'être bien préparé.

Avec ses coéquipiers, ou tout simplement avec ses amis, Sayuri est très loyale. Jamais elle ne les laissera tomber, encore moins ne leur mentira. Toutefois, il est plutôt fréquent qu'elle tente de dissimuler ses états d'âmes et ses soucis pour ne pas inquiéter qui que ce soit. Plutôt indépendante, ce n'est pas le genre de personne qui aime demander de l'aide, sans doute parce qu'elle est trop orgueilleuse. Consciente qu'elle ait des défauts, il est néanmoins hors de question de ne servir à rien d'autre qu'à se faire kidnapper. Le stéréotype de la jeune fille en détresse qui a toujours besoin du héros pour la secourir, non merci. Sayuri préférait mourir que de devoir se faire secourir par un homme, quel qu'il soit.

De plus, les gens qui ne se fient qu'aux apparences la répugnent profondément. Ces gens qui jugent sans connaître, la kunoichi brûle d'envie de leur exprimer son point de vue avant de leur botter le derrière et de les renvoyer chez eux pour qu'ils réfléchissent. Ce n'est pas que Sayuri est colérique, peut-être simplement un peu plus énergique que la moyenne? Si quelque chose ne lui plait pas, elle aura tendance à le dire, ou parfois le garder pour soi si son opinion manque trop de tact. Il faut donc dire que la demoiselle possède un exemplaire maîtrise de soi. Son corps, ses actes et ses paroles n'appartiennent qu'à elle-même, il est donc important de pouvoir se contrôler à cent pourcent.

D'ailleurs, c'est grâce à cette maîtrise de soi que Sayuri a une certaine facilité pour organiser les choses. Bien sur, il lui faudra tout revérifier trois fois par peur de ne pas avoir fait tout à la perfection, mais le résultat est presque toujours satisfaisant. Constamment à son affaire, ses rapports de mission sont toujours préparés avec tant d'attention qu'ils sont le plus souvent en retard. Car oui, la kunoichi a du mal à être ponctuelle pour certaines choses, son désir de toujours faire de son mieux prenant parfois plus de temps qu'il ne le faudrait.

Peu dépensière, Sayuri s'assura toujours de pouvoir trouver ce dont elle a besoin au prix le plus bas possible. C'est d'ailleurs dans un but d'économie qu'elle apprit la couture, confectionnant ainsi ses propres vêtements au gré de ses envies. Possédant une estime de soi peu développé, cela explique pourquoi elle refuse de trop dépenser pour elle-même. Pour la kunoichi, moins on en fait pour elle et mieux c'est. Cela a le don d’agacer certaines personnes qui voudraient que la jeune dame pense du bien d'elle-même. Bien sur, comme tout le monde, il y a des choses qu'elle apprécie bien comme sa tête de cochon entre autres. Cela peut sembler étrange à première vue, mais Sayuri sait parfaitement que sans cette volonté de fer, jamais elle ne serait ce qu'elle est aujourd'hui.

D'ailleurs, il y a bien d'autres choses que la ninja de Kumo apprécie. Par exemple, la sensation du vent sur sa peau est comme une caresse infiniment douce. La natation est l'un de ses sports favoris, particulièrement lorsque l'eau est fraîche, voire froide. Côté repas, elle apprécie les dangos et les kompeitos, ainsi que les sushis. Sa couleur favorite tourne autour des rouges et autres dérivées, tandis que son animal préféré est le chat. Le thé est sa boisson favorite, sentir sa chaleur se répandre dans sa gorge étant pour elle véritable bénédiction.

Pour ce qui est de ce qu'elle n'aime pas, il y en a encore plus. La solitude a tendance à la rendre monotone, bien qu'elle n'aime pas pour autant être le centre d'attention. Le fait qu'on la sous-estime lui donne mauvaise humeur, mais Sayuri tente de ne pas trop s'en faire. Rester inactive la rend souvent agressive, la demoiselle ayant toujours besoin d'être en mouvement pour se sentir bien. Comme quoi derrière ses airs de glaçons, n'importe qui peut-être une personne plutôt complexe.

Histoire de votre Perso

Sayuri, comme beaucoup d’autres, possède une histoire qui lui est propre. Sa mère est née à Kumo no Kuni, fille d’un paysan ordinaire. Son père, quant à lui, était un chuunin qui désirait protéger son village plus que tout autre chose. Ils se rencontrèrent lors d’une belle journée ensoleillée alors que la jeune femme s’était aventurée en dehors du village. Des bandits l’avaient attaquée et la pauvre femme n’avait pu se défendre. Fort heureusement, la ninja revenait de mission et entendit ses cris de détresse en passant non loin de là. Ainsi, il sauva la jeune femme des brigands et tous deux firent connaissance. Depuis, jamais ils ne se séparèrent. L’année suivante, ils étaient mariés et la femme attendait son premier enfant. Les lignes qui suivent décriront donc la vie de notre protagoniste en tentant de se limiter aux événements les plus importants. Sur ce, bonne lecture et pardonner moi si le temps de rédaction peut-être long.

Sayuri était l’aînée de la famille Hebimaru. Ensuite suivirent deux autres filles et un garçon. Grâce à la riche famille du père, ils purent aller vivre dans une grande maison, légèrement à l’écart de Kumo no Kuni. Pendant que le ninja de la maison partait en missions, la petite famille s’occupait de la maison et cultivait divers légumes dans leur grand potager. Tout était pour le moins paisible, tout le monde était heureux. Toutefois, rien n’est toujours heureux pour bien longtemps.

Take 1 :

La gamine, comme à chaque matin, se leva de bonne heure. Après s’être étirée et avoir poussé de nombreux bâillements, Sayuri enfila son kimono de paysanne. Peignant rapidement ses longs cheveux blonds, la gamine de six ans enfila ses zori de paille et sortit de la pièce. C’était jusque là une journée ordinaire alors qu’elle irait arroser le potager, puis pourrait aller jouer avec son jeune frère et sa sœur. À l’époque, la mère de Sayuri attendait sa troisième et dernière fille et bougeait donc le moins possible.

Ce fut en allant remplir l’arrosoir d’eau qu’elle entendit des bruits. Curieusement, elle s’approcha de l’endroit où était son père, un peu à l’écart de la maison là où quelques arbres semblaient vouloir ressembler à une forêt. S’asseyant par terre, elle regarda longuement l’entraînement du ninja. Lançant kunais, shurikens et senbons, il ne rata pas une seule cible. Le fait que lesdites cibles furent des arbres immobiles aida sans doute, mais dans le regard d’un enfant tout est toujours merveilleux. Ensuite, il s’entraîna au taijutsu et entreprit de frapper les arbres pour s’endurcir les poings. La bouche entrouverte, Sayuri l’observait de ses grands yeux rougeoyants. De longues minutes plus tard une petite tape se fit sentir sur son épaule. La gamine se retourna vivement pour voir sa mère, l’arrosoir vide à la main. La femme lui demanda si elle avait été arrosé le potager avant de se permettre d’espionner son père. Baissant la tête, Sayuri se saisit de l’arrosoir. Puis, avant de partir, l’enfant dit deux phrases. Ensuite, elle partit à la course pour aller accomplir sa tâche du matin. Plusieurs années plus tard, la mère de Sayuri pouvait encore entendre ces phrases comme si elles eurent été prononcées la veille.

« Tu vas voir maman, plus tard je m’entraînerai encore plus fort que père. Un jour, je vais être la plus grande ninja que tu auras jamais vu. »

×××

Le père de Sayuri avait toujours été un ninja occupé. Encore jeune, il était plein d’énergie et de potentiel. Certains parlaient même d’un test à venir pour faire passer le Chuunin au grade de Jounin. Ainsi donc, il n’avait pas beaucoup de temps libre entre ses entraînements et ses missions pour bien se reposer. La petite famille comptait maintenant un membre de plus et Sayuri, l’aînée avait maintenant dix ans. Il va sans dire que la jeune demoiselle avait maintenant fait son entrée à l’académie ninja de Kumo no Kuni et travaillait aussi fort qu’elle le pouvait.

Depuis plusieurs mois, le chuunin avait pris l’habitude de sortir le soir avec ses coéquipiers lorsqu’ils rentraient de missions. Dès que possible, ils allaient dans les maisons de thé et buvaient du saké en compagnie des quelques geishas présentes pour les divertir. Au départ, la mère de Sayuri fut mécontente, mais du l’accepter puisque c’était lui qui s’occupait des revenus. La situation resta inchangée durant de long mois, presque un cycle complet des saisons. Toutefois, rien n’est éternel.

Take 2 :

Sayuri était resté éveillée tard ce soir là, attendant patiemment le retour de son père pour lui faire part de ses excellents résultats à l’Académie. L’apprentie kunoichi rêvassait en regardant par la fenêtre. Sa journée repassait en boucle dans son esprit. Pas que ce fut une journée hors de l’ordinaire, simplement elle n’avait rien d’autre à faire. Comme chaque jours, elle avait donné le meilleur d’elle-même et avait travaillé sans relâche. Sayuri s’assurait de rater sa cible le moins souvent aux lancers de shuriken, apprendre par cœur la théorie concernant le chakra, réussir ses substitutions, etc. Plusieurs fois par jour, un ou deux élèves courageux venaient lui demander conseil lorsque le professeur était occupé ailleurs. Un sourire aux lèvres, la jeune fille s’imaginait déjà son père lui faire un grand sourire et la féliciter lorsqu’il verrait les résultats.

La gamine attendit longtemps, la tête appuyée sur le cadre de la fenêtre. Ses paupières se firent lourdes et elle s’assoupit même un instant. Plusieurs heures plus tard, alors que la lune était déjà haute dans le ciel, des rires gras se firent entendre. Sayuri ouvrit ses yeux rougeoyants et s’étira. Son visage s’illumina alors qu’elle vit son père arriver avec deux ou trois autres Chuunins. Avant d’avoir prit le temps de remarquer qu’il ne pouvait même pas mettre un pied devant l’autre, la demoiselle se dirigeait vers l’escalier. Alors qu’elle allait descendre les marches à pas de souris, Sayuri s’arrêta dès qu’elle entendit la voix de sa mère. Ce fut une voix énervée, pleine de stress et de colère. Ce fut alors que la jeune fille se demanda quelle heure il devait être. Chose certaine, les amis de son père ne restèrent pas très longtemps. Se faisant toute petite, la gamine écouta longtemps, puis alla se coucher après avoir compris que même si elle lui montrait ce soir là, il ne comprendrait pas. Ce fut le début d’une longue série de disputes, chacune pire que la précédente.

×××

Depuis ce jour, le père de Sayuri fréquenta les maisons de thé environ deux fois par semaine. Chaque fois que cela arrivait, il revenait dépasser minuit, ivre mort. Cela ne parut pas trop au départ, mais le revenu s’en fut débalancé. Non seulement ces soirées avaient-elles un coût, mais en plus le lendemain le Chuunin était trop fatigué pour travailler. Ainsi, il faisait de moins en moins de missions. Ceux qui ne le connaissaient pas le plaignaient alors, croyant qu’il avait tant travaillé que maintenant, son corps fatiguait. Au bout de six mois, l’homme s’enfuit avec une Geisha pour ne plus jamais revenir.

Puisque la maison appartenait à la famille du mari et que la femme n’avait plus les moyens de la payer, la petite famille dut déménager. Ils trouvèrent un petit appartement pour vivre, quelque part dans le centre-ville de Kumo no Kuni. Les trois plus jeunes enfants dormaient ensemble, sur des futons différents, dans la seule chambre de l’appartement. Sayuri occupait un futon dans le salon et sa mère le divan. D’ailleurs, pour payer l’appartement et nourrir les bouches, la femme dut se trouver un travail. De plus, Sayuri se trouva un petit boulot pour aider sa mère lorsqu’elle ne s’entrainait pas aux arts ninjas. Cette série d’événement ne fit que renforcer sa détermination à devenir une grande kunoichi et ne pas céder en cours de route comme son père l’avait fait avant elle. C’est ainsi que, à l’âge de douze ans, elle devint Genin.

Elle avait été placée avec deux garçons, tous deux doutant de son talent. Toutefois, lorsqu’elle leur eut fait morde la poussière en quelque secondes durant un entraînement, ils comprirent qu’elle pouvait être encore plus dangereuse qu’eux. Depuis, ils la respectèrent et lui demandèrent parfois de l’aide lors de certaines missions compliqués.

L’année suivante, ce fut l’heure du voyage avec leur sensei pour aller assister à l’examen chuunin. Sayuri fut la seule de son équipe qui gradua. Heureuse comme pas possible, elle continua à s’entraîner autant qu'il le fallait pour un jour atteindre son but. Devenir Raikage et protéger le village au grand complet.

[Note : Je ne continuerai pas mon histoire étant donné que je ne puis savoir à l’avance quel rang me sera attribué. Ainsi, je vais passer directement au test rp. Dans le pire des cas, je finirai plus tard mon histoire dans la section fanfic.]

Test RP

C’était une journée plutôt nuageuse. Le ciel était gris, couvert d’une épaisse couche de nuages. Le vent était plutôt frisquet, de quoi faire frissonner quelqu’un par son frais contact. On pouvait entendre le bruit des feuilles dans le vent, signe annonciateur de pluie. Une douce odeur de ramen chatouillait les narines de la jeune femme. Ses yeux rougeoyants détaillaient le décor, cherchant qui que ce soit qui pourrait représenter un quelconque danger. C’était une habitude chez elle de toujours vérifier que rien de mauvais ne pouvait avoir lieu. Il s’agissait de son village natal après tout, qui avait-il de mal à vouloir le protéger?

D’accord, le fait de chercher des criminels, même chez les vendeurs de ramen, était peut-être un peu exagéré, mais bon. Elle passait par là et avait eue envie d’un bon bol de nouilles. Pour ce qui était du reste, ses habitudes protectrices envers le village avaient servi à faire le reste. Délicatement, Sayuri se saisit de ses baguettes de bois et les sépara. Lentement, mais surement, elle débuta son repas. Cela devait faire des lustres qu’elle n’eut eu pas mangés. Plus jeune, elle les adorait et se devait d’en manger au moins une fois par semaine, sinon plus. Toutefois, depuis que les moyens de sa famille avaient baissés, elle avait du faire taire cette habitude.

Alors que la demoiselle était perdue dans ses pensées, deux nouveaux arrivants pénétrèrent le petit commerce. Ils portaient tout deux une longue cape noire, leur grande capuche cachant la moitié de leur visage. Sayuri porta instantanément son attention sur eux. Alors qu’ils s’approchaient du comptoir, les deux individus soulevèrent leur capuche pour découvrir deux visages lui étant familier. C’était des ninjas de Kumo et rien de plus. Retournant à son bol de nouilles, la jeune femme dut s’avouer légèrement déçue. Portant son regard vers l’extérieur, elle put voir que quelques gouttes commençaient à tomber. La pluie inondait le décor en un doux clapotis. Mangeant une nouvelle bouchée de nouilles, elle laissa son regard vagabonder ça et là. Au bout d’un moment, les deux ninjas qui l’avaient tant inquiété partirent, juste après lui avoir fait un signe de la tête en guise de salutation.

Lorsqu’elle eut fini la demoiselle resta assise un peu plus longtemps, ravie d’avoir un instant de repos pour contempler son joli village. Ce fut alors qu’un homme qui lui était inconnu se leva de sa place et se dirigea vers le comptoir. Il possédait une canne et, curieusement, ne semblait pas en avoir réellement besoin vu son âge. De plus, sa démarche restait parfaite, même sans. Sayuri porta toute son attention sur l’individu qui s’approcha du comptoir. Puis, à la surprise générale, il tira sur le manche de sa canne qui s’avéra être un sabre, dissimulé dans ladite canne. L’homme en plaça la pointe à la gorge de la jeune femme en charge du petit restaurant de ramens. Réagissant plus vite que son ombre, la kunoichi se déplaça pour arriver juste derrière lui dans un silence le plus complet, le plus rapidement possible. Sayuri se saisit de l’un de ses kunais et pressa le plat de la lame dans le cou de l’inconnu. La sensation du métal froid sur sa peau ne sembla pas le réjouir puisque ses yeux s’agrandirent. Il tenta de voir le visage de celui qui était plus rapide que lui, mais en vain puisqu’elle se tenait derrière lui. Agrippant le poignet de la main libre de l’homme, elle tira le poignet vers elle avant de l’appuyer dans le dos de l’individu. Il lui restait dès lors très peu de marge de manœuvre puisque la proximité de Sayuri l’empêcherait d’utiliser son sabre à son plein potentiel. Ce fut alors qu’elle approcha ses lèvres de l’oreille de l’individu avant de murmurer.

×. Je n’aime pas les étrangers qui se permettent de jouer les voleurs dans mon village.

Sur ce, elle exécuta un violent balayage de son pied droit, envoyant de ce fait l’homme au plancher. Avec précision, elle lança le kunai à deux centimètre de ses yeux, sur le plancher. L’homme eut un mouvement de recul, de plus en plus terrorisé. Il rangea son sabre et partit à la course, sans demander son reste. La kunoichi eut un sourire amusé en le regardant détaler. Elle était certaine de ne pas le revoir de si tôt.

La jeune femme qui s’occupait du petit restaurant de ramen s’inclina pour la remercier et la plupart des clients la félicitèrent. Comme à l’habitude, Sayuri eut un sourire et prétexta n’avoir fait que son travail. Sur ce, la jeune femme régla sa facture et sorti, retournant à ses activités habituelles de ninja.

Je Dirais Jônin...Mais Bon ce n'est que mon avis...(Si des Admins Veulent contester, le sujet est ouvert)
Validée[Jônin de Kumogakure]

j'aurais dis Chunin...Mais bon

Ouais jonin.

Le style rp est spécial, mais je vais être gentil, je dis Jonnin aussi, pourtant, j'aime être tranchant xD

mais le niveau rp est bon, certes, spécial, mais spécial ne veut pas dire mauvais Wink