Fiche de présentation à respecter

Oto no kuni, village caché du Son du Pays du Riz. Ce village est sujet à une réputation d'hostilité extrême vis-à-vis des autres puissances. Lugubre, mal entretenu, il n'a absolument rien d'une cité touristique : ses ruelles sont infestées de gangs de yakuzas, de maisons crasseuses où les habitants survivent tant bien que mal, et étouffées par la misère. Le bureau du Kage est établi au creux d'un tunnel souterrain.
La condition de ninja y est difficile car ne sont acceptés que les êtres "forts". Le village, pour se sortir de la précarité qui l'assaille, a vu se succéder de nombreux chefs, qui disparurent les uns après les autres. La Kage actuelle, Tayuya, parvint à rétablir une certaine échelle sociale au sein du village. Suite à une attaque de Konoha, elle fit bâtir un système de défense autour des remparts renforcés. Du village d'Oto, s'élève une envie perceptible de révolutionner le monde des ninjas...

La beauté est éphémère, ce n’est qu’un concept de la jeunesse qui se détériore avec le temps qui passe. Mio est une jeune fille de quatorze ans, mais le temps lui a promis qu’elle serait plus vite vieille sans être fanée, car cette fleur donne l’impression qu’elle à seize ans. Dès le départ Mio à compris le concept de la beauté, et elle s’est empressée d’y mettre un terme, mais sa beauté à elle n’est pas un concept, c’est la réalité, la pur et simple vérité.
Si l'on devait parler ses cheveux, se serait le soleil qui en parlerait le mieux.
« La rivalité n’est pas mon fort, mais la chaleur dégagé par l’éblouissance de ses cheveux est en harmonies avec la biosphère environnante. Dans les méandres légés de son cuir chevelu, le blond couleur miel s’évapore et se donne à corps perdu dans un face à face d’explosion solaire, faisant ressortir une couleur rousse aux pointes d’or. »
Si l'on devait parler de ses yeux, se serait la nuit qui serait la plus apte à les décrire.
« Si mon vaste néant n’a d’égale que ses yeux, j’en suis la plus heureuse. Le noir d’un vortex à l'état pur dessine les courbes manuscrites de ses pupilles, et l’iris rivalise avec les teintes mauves que je dessine dans le ciel quand mon ami le soleil se lève à l’horizon. »
Et pour sa peau, nous invoquerons la pleine Lune.
« C’est l’envole de la grâce, la certitude, l’impossible et le surréalisme. Elle n’a rien à m’envier, car sa peau est d’un blanc pur, et sa douceur ne peut rivaliser en rien à la mienne car elle l’a carrément dépassé. La soie serait son touché, et le velours, sa douceur, et son teint mille fois plus blanc que le Satin. »
Un tatouage marqué au noir sur son bras droit lui rappellera pour toujours comment sa vie a était malmenée. Son bandeau d’Oto, avec une note de musique, elle le porte sur son bras gauche pour cacher une cicatrice à peine visible.

Avez-vous déjà vécu l’invivable ? Avez-vous déjà vu l’interdit ? Avez-vous déjà tout connu, que vous ne croyez plus en rien ? Si la vie, n’était plus ce qu’elle était, si elle était devenue plus fade que jamais, si jamais vous ne ressentiez plus rien, ni l’amour ni la haine juste se sentiment désagréable qu’exister n’est qu’une source d’ennuie et que si vous continuez dans cet voix là, bientôt se ne seras plus un problème, car la mort est au bout du chemin, et elle n’attend que vous, avec sa faux et sa cape de noir vêtu. Même les prières sont inutiles car elles n’apportent rien de bon, qu’attirer les interdits, les invivables… Vous détestez vous-même, en arriver à un point où le seul recourt c’est d’aller voir cette mort en face et de faire un pacte avec. La puissance que vous aviez n’était pas assez suffisante pour assouvir votre désir, non pas de vengeance, mais de haine pur et simple qu’attise cette vie sans joie. Car la vengeance, c’est le dégoût d’une personne qui a brisé votre joie, ici la vengeance serait dirigée vers les créateurs du monde, et les affrontés revient à signer non pas votre arrêt de mort, mais bien votre contrat de damner sur cette maudite terre qui est au sol, quel qu’elle soit. Cela résume assez bien l’idée de base de Mio. Pour certaine personne, la haine est une chose ignoble mais non choisie car c’est un sentiment du cœur, pour Mio, la haine est un sentiment dès plus normal, car c’est la seule chose qu’elle ressente, normal, quand on vie une vie pénible qui n’a pas d’origine car vous êtes déjà mort et que cette mort n’a pas voulu de vous. A quoi sert la puissance si vous ne pouvez pas mourir, c’est l’ennuie, une vie sans risque, et bien c’est ça d’être damné par les créateurs du monde. Même si les pouvoirs sont une source de bien faits et de rétablissement de la justice, si l’on n’a aucun sens des sentiments, les pouvoirs ne sont que les armes qui n’attisent que le plaisir du meurtre. La haine engendre la vengeance qui attise la haine, ici rien de cela n’est vrai, la haine attise le plaisir.
Mais Mio pourrait avoir un semblant d’excuse… [Prochain épisode dans l’histoire !!^^]

La respiration haletante, sueur et transpiration, les dents serrées, et le sang dégoulinant d’une profonde entaille dans le bras gauche. Une jeune fille aux habits anciens pleurait de douleur et se tapissait dans un coin d’une pièce sombre. La peur de la fillette était tellement présente et puissante que même un aveugle aurait su d’où émanait la source de cette ambiance sinistre.
*Pourquoi moi ?*
Il est vrai qu’avant, disons trois heure plus tôt, sa vie n’était qu’un compte de fée, où la haine n’existait pas et où la joie régissait sa loi. Mais maintenant, la joie n’existe que dans les souvenirs qui s’effacent avec une vitesse alarmante, et déstabilisante. La vie prend toujours une tournure inattendue, et totalement contrèrent avec celle que l’on espéré.
*Pourquoi moi et pourquoi aujourd’hui ?*
Quel dommage, un si beau jour, chaud, relaxant, parfait pour imposer dix bougies sur un gâteau d’anniversaire fait avec amour par la plus belle des mamans, parfait aussi pour recevoir tous ses amis, et toute la famille. Tellement beau que les voisins se joignent aux festivités. Mais tellement beau aussi pour que la mort enveloppe les lieux. Un violon se cachait dans un cadeau, et quand il fut déballé, la joie n’était qu’un mot parmi tant d’autre tellement tout était si heureux. Miomina s’amusa à faire passer l’archer sur les cordes du violon. C’était son premier, mais elle était une virtuose de la musique, les sons qui sortirent de cette accord entre frottement et violon était apaisant, un avé maria de Schubert pour Miomina, mais pour les autres c’était la joie qui émanait de la petite fille et qui était retranscrite dans la musique. Tout en continuant de jouer du violon, elle commença à chanter, une symbiose parfaite était née entre la voix et le violon. Tout était apaisant, et elle s’arrêta de chanter pour qu’elle puisse admirer le son du violon, et son père se mit à jouer du violon en cœur avec elle, le mélange était parfait… Mais la musique ne pus duré plus longtemps…
*Pourquoi fallait il… eux… pourquoi eux ???*
Quel réaction des plus normal, voir trop banal, toutes les personnes qui lui étaient chères, avaient était tués juste sous ses yeux, et la douleur et la frayeur l’avait fait tombé dans les méandre de la nuit. Quand elle se réveilla elle était allongée sur l’herbe, avec son violon détruit à côté d’elle et les corps inertes des gens qu’elle aimait par dessus tout. Elle remarqua qu’elle soufrait au martyr des bras, l’un était en sang à cause d’une marque qui était apparue sur son bras et sur l’autre, une blessure très profonde saignée à flot. Elle se leva tant bien que mal, et chercha sa mère, elle était étendue quelque mètre plus loin, le sang maculant sa jolie robe préférée. Miomina couru la rejoindre et elle se blottit dans ses bras.
« Ça va maman ? » personne ne répondit « tu es en colère par ce que ta robe préféré est tachée ? » toujours aucun bruit, sauf le bruit des pleures de la fillette. Elle comprenait qu’elle était désormais seule au monde, soudain un homme s’évada de sa prison de noir. Ce n’est pas un convive, mais l’assassin.
« Salut petite ! Je suis un ange et toi, tu es la petite fille qui vient de fêter son anniversaire non ? dit-il avec une voix si douce
- Oui… tu es vraiment un ange ?
- Bien sur ! Tu ne me croix pas ?
- Si, mais si vous êtes un ange vous pouvez ramené mon papa et ma maman non ?
- Non je suis désoler… ils ont dû payer de leur vie leur crime, et vu que ce n’était pas assez, et qu’il y avait des témoins, tout le monde à payer pour tes parents.
- Euh… je ne comprends pas…
- Normal tu es jeune… mais je vais t’expliquer. »
…
« Lorsque tu es née, ta maman et ton papa était très heureux, mais ce bonheur ne leur suffisait pas, ils voulaient de la puissance » voyant l’expression de la petite fille, il sourit pour la réconforter. « Ne me demande pas pourquoi ils voulaient ça, les humains sont cupides et égoïstes, ils ne pensent qu’à eux. Tes parents n’ont pas respecter la lois des morts et voila leur punition, je suis désolé pour les autres.
- Et pourquoi moi je ne suis pas morte ?
- Tu vois, ils sont tous mort a cause de notre marque maudite aux anges, cette marque consiste à ce que les esprit puisse toucher les humains, et les tuer bien sur. Mais dans ton cas, ton sceau a été modifié par ton chakra et c’est devenue cette marque sur ton bras. A cause de ça, ou Grâce à ça, c’est toi qui voit, nous ne pouvons pas te tuer, c’est comme un pacte avec le royaume des anges… les parques ne peuvent pas décidé quand tu mourras ! Mais étant la seule survivante, les autorités de ton village vont croire que tu détient le plus formidable des chakra mais que tu es un dangée pour le village, alors ils vont te classé dans les ninjas recherchés, et tu vas être pourchassée. Il faut que tu fuis, et vite si tu tiens à ta peau. Moi je pars, mais juste avant, ta marques est très rare, enfin, tu es unique, n’y allons pas par quatre chemins, nous ne savons pas se qui va se produire comme… effets secondaires, donc maintenant tu es livré qu’a toi-même. »
Miomina se retrouva subitement seule, et prise de panique et de confusion elle courra chez elle et alla se réfugier dans la chambre de ses parents. Le monde lui paraissait de plus en plus fade, triste, sinistre, et la mort de ses parents faisait naître en elle un nouveau sentiment, la VENGEANCE. Entre temps son bras droit était couvert de sang, mais il était sec, se qui signifiez que ça avait arrêté de coulait, mais l’entaille dans son autre bras n’arrêté pas de coulé, et cela la vidée de ses force, soudain, elle entra en transe, la vengeance dans l’âme elle quitter se monde pour rejoindre ses parent dans l’eau de là.
…
Les nuages blancs qui troublé la vue à Miomina s’estompèrent et elle se retrouva devant une sorte de conseil, avec pleins de gens qui se ressemblaient et qui avaient le même habit, une cape bleue marine. On pouvait distingué une différence, qui faisait toute la différence, leur beauté. En voilà un beau des concepts, la beauté. [^^] Mais c’était vrai, d’un côté il y avait la beauté angélique et de l’autre coté la beauté démoniaque… allez y comprendre quelque chose. L’homme de tout à l’heure était présent dans le côté angélique.
*c’est à cause d’eux si mon anniversaire est fichu, si ma vie est fichue, si tout est fichu !*
Dans un élan de désespoir, elle inspira profondément et relâcha tous les sentiment qui s’étaient accumulés au fil des secondes qui défilaient :
« Je vous haie !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! » Son cri établie un silence des plus lourd, et toute l’assemblé la regarda.
« Je n’éprouve aucun plaisir en vous voyant, alors qu’ici c’est les parques. Vous n’êtes qu’une bande d’esprits ignares qui ont oubliés tout se qui savaient de la vie. Vous ne comprenez rien à rien, à cause de vous mon amour c’est éteint et la vengeance ennivre mes sens, la haine, voila se que je ressent. Il y a quelques minutes je me demandais « pourquoi moi ?? » maintenant je sais, c’est pour que je vous anéantisse t… » Miomina n’eu pas le temps de terminé son discours, deux homme se levèrent et parlèrent en même temps. * si je comprendre bien, c’est Dieu, le roi des Cieux et Lucifer, le roi des Enfers, pouah, j’ai de la chance moi…* se dit elle sur un ton ironique.
« La vengeance ici c’est le nom d’un pacte, c’est la damnation, en venant ici avec cet état d’esprit, nous pouvons t’accorder une deuxième chance, alors présente tes excuses immédiatement ! » leur voix étaient autoritaires et ne formaient qu’un mais Miomina n’en avait rien à faire.
« J’ai dit que mon amour est éteint, et cela à cause de vous, alors vous pouvez toujours essayez de rêver, mais même en rêve, je ne vous demanderez jamais pardon !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
-Très bien… » leur voix étaient toujours unis et ils firent un mouvement adroit, et un papier apparu, en plus, sans que Mio s’en aperçoive, un ange était apparu à ses coté et la tenait immobile à l’aide de son chakra. Une goûte de son sang tomba sur la feuille de papier et le contrat fut signé, et la vit de Miomina se changea en Exile.
Sur se papier, sur ce contrat, il était indiquer que si le sang du damné toucher se papier, l’âme de ce dernier resterait en exile sur Terre pour la fin des temps. Et tout fut noir.
…
Grâce à la marque sur le bras de Miomina, son âme réintégrât son corps, et c’était comme si rien ne c’était passé, sauf qu’elle ne pouvait plus mourir, et que le temps pour elle était un jeu. Elle détenait un nouveau pouvoir, elle était puissante, mais tellement jeune.
La vengeance abandonna son règne dans le cœur de la jeune fille et la haine des autres s’installa, personne ne pouvait comprendre se qu’elle ressentait… ne pas pouvoir mourir, quel triste sort ! Comme l’avait prévu l’ange, les autorités de son village la pourchassèrent, et elle déserta les rangs de ninja, et pendant quatre ans elle erra dans les divers contrée, tuant, saccageant, pillant, et chantant à tout va. Mais la solitude n’était pas son fort, elle son désir était de trouver un village qui l’accepterait c’est ainsi qu’elle arriva au village d’Oto, un jour de brouillard. Une douce mélodie englobait l’atmosphère gotique de se jour,… certainement un avé maria de Schubert pour tout le monde, mais pour Miomina, c’était le début du bonheur, car sa mémoire n’était plus, de sa naissance à il y a quatre ans, c’est le néant, ses seuls souvenirs sont…la HAINE.

Le jour naquit sur le petit village perdu du temps, c’est comme cela qu’appelait Miomina Akira le village inconnu, donc les gens ne se permettaient aucun contacte avec le monde extérieur. Personne ne savait quoi que se soit sur leur existence, et même Mio l’avait trouvé sans faire exprès. Il faisait chaud pour une saison d’automne, les arbres étaient toujours couverts de feuilles bien vertes, et aucun rongeur ne songeaient encore à faire leur réserve pour l’hiver, préférant, de toute évidence de jouer à grimper sur les troncs d’arbres. Choisissant la sureté et le travail bien fait, au lieu de le faire dans la précipitation, au risque de… s’écorcher le bras de nouveau, elle allait attaquer la nuit tombée. Elle grimpa dans un arbre et s’installa sur une branche pour que le temps s’écoule paisiblement. Elle cueilli le fruit du péché, « malus » en latin, une pomme rouge qu’elle croqua avidement, et qu’elle jeta au loin. Elle prit un couteau et s’entailla la main, du sang se mit à coulé abondamment, elle avait percé une veine. Elle s’étala le sang sur les bras, et sur le visage, elle déchira sa robe grise, qu’elle avait prise dans une maison où elle avait égorgé le nouveau né devant les yeux de ses parents, elle avait pu lire la haine dans leur yeux. Mais aussi étonnant cela fut il, elle n’en trouva aucune satisfaction, alors pour la peine elle avait décidé d’anéantir un village pour savoir si elle pouvait se sentir soulagée dans libéré une telle haine que cela en deviendrait irréaliste. Mais pour le savoir, il fallait le vivre, et ressentir après la satisfaction désirée. Le ciel s’assombri, un orage se préparait, cela l’arrangé même si elle savait que c’était la colère des cieux face au carnage qui se préparait. Il fallait qu’elle face vite avant qu’un envoyé du panthéon ne lui bouche le passage. Elle courra jusqu’au village, en criant à la mort.
Les villageois du village perdu d’existence, comme il s’appelait, avait était surprit par le changement climatique soudain. Les enfants qui jouaient dehors c’étaient réfugiés sous le préau, les paysans qui travaillaient le sol au petit matin, rentraient chez eux la mine déconfite.
« Ne devait-il pas faire beau ? » Demanda le chef du village au sorcier.
« Oui, mais c’est un orage divin, c’est la colère des dieux qui se déchainent, un malheur plus grand que nous pouvons l’imaginer arrive, il nous faut nous méfier »
Le chef songeur ne répondit pas et regarda par la fenêtre, soudain un cri attira son attention, une jeune fille aux cheveux blonds, couverte de sang, dévalée la colline, elle semblait vouloir échapper à un monstre qui l’avait blessé vu la couche de sang qui s’était rependu sur sa peau. Il sortit de la pièce, il hurla : « Sauvez cette jeune fille ! »
Les villageois sortirent et observèrent la scène. Pour accompagner ce moment tragique un éclair déchira le ciel et un grondement sourd perça les tympans.
Miomina arriva au centre du village, tremblante, elle s’écroula au sol. Des personnes arrivèrent, et la relevèrent. Avec sa course folle Mio était essoufflée, cela rendrait les choses plus intéressantes. Elle bégaya des paroles incompréhensibles, et les villageois mirent cela sur le compte de la peur, mais en réalité elle jubilait. Dans son dos, une épée immense s’y logeait, en attente que le sang coule sous son Joux. Elle souri contre toute attente des villageois qui s’éloignèrent. Seul un brave homme s’approcha d’elle.
« Etes-vous un ange déchu ? » fit il d’une voix calme, mais tendu.
« Non, un démon des cieux, l’ennemie jurait de l’amour et de la douceur ! »
Sur ce il recula déconcerté par la révélation de la jeune femme. Mio se redressa, et tira son épée de son dos, tous les villageois étaient autour d’elle, s’était ce qu’elle avait souhaité, maintenant tout était fini.
…
Mio essoufflée s’asseyait près du feu. Du sang coulait partout, mais cette fois s’y ce n’était pas son sang, c’était celui de tout les villageois. La pluie purgeait la terre pleine de sang. Elle s’allongea sur le sol froid et s’endormie. Son sommeille fut tourmenté par les rêves de son enfance. Mais elle n’arrivait toujours pas à remettre l’oreille sur la douce mélodie qui dirigeait sa vie si miséreuse, car elle n’avait trouvé qu’un cours désir à tué et à faire naître la haine des villageois, juste après la bataille, elle s’était retrouvée affliger de ne plus rien ressentir.